Quand on vis en couple avec quelqu'un, il y a des petites choses, parfois chiantes, qu'on est obligés de faire, comme remplir son réfrigérateur par exemple. Ce n'est pas une partie de plaisir, mais si on ne veux pas mourir de faim, on à pas vraiment le choix, il faut y passé. On ne pas vivre que d'amour et d'eau fraiche, il faut aussi penser à son estomac !
Nous vendredi, c'était les vacances, plus de cours de droits pendant plusieurs semaines, et surtout, mon homme pour moi toute seule, toute la journée. J'étaie ravie de pouvoir passé du temps avec lui, résultat, j'en oubliais que je devais remplir mon réfrigérateur. Benh oui, à force, manger des pattes touts les jours ça lasse,e t on avait pas les moyens d'aller tout les jours au restaurant.
Le problème, c'est que depuis que les vacances avaient commencer, on ne pensais qu'à nous deux, ou alors, c'est moi, j'en sais rien, et c'est presque à la fermeture du centre commercial, que nous nous sommes rendu, tout deux, afin de faire nos courses. J'avais à peine eut le temps de m'habiller convenablement, et je n'étaie pas du tout coiffé. Lionel n'était guerre mieux, mais je le trouvais très beau tout de même. J'avais griffonnée sur un bout de papier ce dont nous avions le plus besoin. Mon copain s'était garer dans le parking sous-terrain, mais nous avions traverser une bonne partie de la ville. Il faisait un temps épouvantable. Je n'avais encore jamais vu ça en Californie. Mon père dit qu'avec tout ce que l'on envoi dans l'espace, ce n'est pas étonnant que la météo se détraque. Pour une fois, je suis bien d'accord avec lui. Il pleuvait des cordes, et le ciel était zébré d'éclairs, au point que j’arrêtais pas de sursauter.
Oui, bon, je sais, je suis une grosse peureuse, mais je n'y peut rien. Après s'être garé, on se dirigea, vers le supermarché, les boutiques commençaient à fermer, mais l'alimentaire, lui était encore ouvert jusqu'à 22 heures. Une chance ! Nous primes chacun deux paniers et nous nous dirigeâmes vers les différents rayonnages.
J'ignore si s'était l'effet de mon imagination, mais j'avais l'impression que les éclairs au dehors, traversaient le centre commerciale, le faisant trembler. J'essayais de ne plus y penser, et avec Lionel nous commençâmes à remplir nos paniers à provisions. On se chamaillait gentiment à propos du paquet de céréales, quand je remarquais que les lumières étaient défaillantes. En effet, elles clignotaient, c'était bizarre. J'entendis un bruit de verre brisé, et puis se fut le noir complet. Les plombs avaient sans doute sauter à cause de l'orage.
Petite, je devais avoir environ 8 ans, ça m'étaie arrivé, et toutes les portes de sécurités s'étaient fermé, on s'était retrouver bloquer dans le magasin. J'espérais que ça n'allais pas arrivé cette fois.